Ils étaient venus Danser sur les tubes d’ABBA ,et d’autres groupes,
Soudain, le feu et les gazes toxiques, et de plus le patron avait demandé la fermeture des issues de secours !
Les jeunes,périrent dans des conditions inhumaines.
Les causes sont nombreuses , matériaux, , sécurité, pourquoi avoir bloqué les issues de secours
La boîte de nuit avait été inaugurée en avril 1970 et drainait régulièrement des jeunes venus des régions de Voiron , Chambéry et Grenoble .
Dans la nuit du 31 octobre au 1 er novembrie 1970 , vers 1 h 40 du matin, alors qu'environ 180 personnes sont présentes dans l'établissement, le sinistre se déclare dans le recoin d'une loge située au dessus du bar, au premier étage.
Il s'est rapidement propagé aux décors de la boîte de nuit et au mobilier, faits de papier mâché et de polystyrène expansé .
Ce matériau dégage alors un gaz asphyxiant . Le plastique qui fond met également le feu aux vêtements en fibres synthétique
Les sorties de secours sont verrouillées pour éviter les resquilleurs , ce qui pousse les jeunes à tenter vainement de sortir par les tourniquets d'entrée car ils ne tournent que dans un sens (celui pour entrer).
Selon le témoignage de Pierre Montillo, un survivant, l’orchestre a continué nué de jouer alors que le feu ravageait déjà une partie de l'établissement : « il jouait Satisfaction des Stones , j'ai ce souvenir précis » dit-il.
Lorsqu'une trentaine de personnes réussit à s'échapper en forçant une issue de secours, un appel d'air entraîne une boule de feu qui traverse toute la discothèque .
Les lieux sont dépourvus de téléphone ; un des directeurs de l'établissement, Gilbert Bas, se rend en voiture à Saint-Laurent-du-Pont pour donner l'alerte. À son retour sur les lieux avec les secours, il est trop tard, le feu a déjà englouti le bâtiment. Les pompiers de Saint-Laurent-du-Pont prennent la décision d'attendre le lever du jour pour dégager les victimes du lieu, après avoir vérifié qu'il n'y a plus de survivants